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Il y a de cela mille quatre cents ans, l’islam a donné des droits non négociables, aux femmes, des droits auxquels les femmes européennes de l’époque n’auraient même pas rêvé.  Au cours des dernières décennies, les droits, les responsabilités et les choix s’offrant aux femmes ont été le sujet d’innombrables livres, articles, essais et conférences.  Mais convaincre le monde que la femme musulmane n’est pas opprimée par l’islam semble quasi impossible.  Les médias, partout à travers le monde, crient à l’oppression et les mots musulmane, femme et oppression sont devenus inextricablement liés.





Peu importe ce que font ou disent les musulmanes pour convaincre le monde du contraire, des mots tels hijab, burka, polygamie et shari’a suffisent à faire pousser les hauts cris.  Même les femmes éduquées et articulées qui ont choisi de porter le hijab n’arrivent que rarement à faire changer d’avis ceux qui ont décidé qu’elles étaient opprimées.  Les femmes qui ont de la classe et de la dignité et qui savent se comporter, dans le monde moderne, sont admirées pour leurs réussites et leur succès.  Mais dès qu’une femme décide de cacher ses cheveux et de donner préséance à sa religion sur la poursuite des choses de ce monde, aux yeux des gens, elle devient immédiatement opprimée.  On finit par se demander si ce sont les femmes pratiquantes de toutes les religions qui sont considérées comme opprimées… ou si ce ne sont que les musulmanes.





Le signe le plus visible de la foi d’une musulmane est son hijab, qui lui recouvre les cheveux, de même que ses vêtements larges, qui couvrent tout son corps.  C’est aussi cet habit qui amène les gens à croire qu’elle est opprimée.  Bien que le Coran établisse clairement l’obligation de se couvrir, pour la femme, il reste que pour la majorité des musulmanes, à travers le monde, le fait de se couvrir ou non est un choix qu’elles font librement.  Celles qui choisissent de porter le hijab le voient comme un droit et non un fardeau; plusieurs le décrivent d’ailleurs comme une libération, car elles prennent la liberté de ne plus se conformer à des stéréotypes irréalistes dictés par les médias, l’industrie du cinéma et des cosmétiques.





Mais si on interrogeait les premières concernées?  Qu’ont à dire les musulmanes sur l’oppression?  En 2005, un sondage mondial Gallup[1] intitulé What women Want: Listening to the voices of Muslim Woman (Ce que les femmes veulent : écouter la voix des musulmanes) a révélé que la majorité des femmes interrogées, dans des pays à prédominance musulmane, se désolait du manque d’unité entre les nations musulmanes, de l’extrémisme violent et de la corruption politique et économique.  Le hijab, ou tout autre vêtement recouvrant le corps ou le visage et souvent dépeint comme signe d’oppression par l’Occident, ne fut même pas mentionné.





Le rapport conclut que : « … la majorité des femmes, dans le monde musulman, sont parfaitement conscientes de posséder les mêmes capacités que les hommes et d’avoir droit aux mêmes droits fondamentaux.  La majorité des femmes, dans les huit pays sondés, ont affirmé que les femmes étaient tout à fait aptes à choisir elles-mêmes pour qui voter, à travailler dans n’importe quel secteur où elles sont qualifiées et même à occuper de hauts postes au sein du gouvernement. »





L’islam a élevé le statut de la femme, qui ne fut plus considérée comme une possession que le père passait au mari.  Elle devint l’égale de l’homme, avec des droits et des responsabilités respectant sa nature unique.  Il est malheureux de constater qu’aujourd’hui encore, partout à travers le monde, des musulmanes sont victimes d’aberrations culturelles qui n’ont nullement leur place en islam.  Des groupes et des individus influents se prétendent musulmans, mais se montrent incapables d’appliquer l’islam correctement.  Chaque fois que les médias révèlent d’inconcevables histoires de crimes d’honneur, de mutilations génitales, de mariages forcés, de châtiments pour des victimes de viols, de femmes confinées à vie dans leurs maisons ou de fillettes privées de leur droit à l’éducation, ils révèlent, en fait, l’histoire de centaines de milliers d’hommes et de femmes qui n’ont rien compris de l’islam et du statut de la femme musulmane.





« Ô vous qui croyez!  Il ne vous est pas licite de recevoir en héritage, contre leur gré, les femmes [de vos proches décédés].  (Et il ne vous est pas licite) d’empêcher vos femmes de se remarier dans le but de vous emparer d’une partie de ce que vous leur aviez donné, à moins qu’elles ne viennent à se rendre coupables de débauche flagrante.  Et comportez-vous convenablement envers elles ; si vous éprouvez de l’aversion pour elles, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose dans laquelle Dieu a déposé un grand bien. » (Coran 4:19)





Dieu exige des hommes qu’ils traitent les femmes avec respect, honneur et justice.  Il condamne fermement l’oppression, sous toutes ses formes.  En islam, les femmes, comme les hommes, se doivent d’obéir à Dieu et de L’adorer comme il se doit.  Et elles sont égales aux hommes en termes de rétribution dans l’au-delà.





« Et quiconque, homme ou femme, accomplit de bonnes œuvres tout en étant croyant, voilà ceux qui entreront au Paradis. Et ils ne seront point lésés, fût-ce d’une pellicule de noyau de datte. » (Coran 4:124)





La femme, en islam, a le droit de posséder des biens, de dépenser son argent comme elle l’entend, d’acheter et de vendre, de donner en cadeau et en charité.  Nul n’a le droit de lui retirer ses biens ou d’en user sans son consentement.  L’islam a également donné à la femme musulmane des droits d’héritage.  Elle a aussi droit à l’éducation, car la poursuite du savoir est une obligation pour tous les musulmans, femmes et hommes confondus.





La musulmane a le droit d’accepter ou de refuser une proposition de mariage et la femme mariée n’a aucune obligation de dépenser pour sa famille, obligation qui incombe à l’homme.  Il va de soi qu’elle peut contribuer à ces dépenses si elle le souhaite.  Enfin, elle a le droit de demander le divorce lorsque nécessaire.





Le prophète Mohammed a dit : « Une femme qui a déjà été mariée ne doit pas être donnée en mariage avant d’avoir été consultée.  Et une vierge ne doit pas être donnée en mariage sans son consentement. »  Les gens demandèrent : « Ô messager de Dieu, qu’est-ce qui équivaut à son consentement? »  Il dit : « Son silence (est une indication de son consentement). »[2]





Dans un autre hadith, il est rapporté qu’une femme (qui avait déjà été mariée) avait été donnée en mariage, par son père, sans son consentement, et qu’elle n’aimait pas son mari.  Elle alla voir le messager de Dieu, qui déclara le mariage invalide.[3]





L’islam affirme clairement que la femme est un être humain méritant le respect, qui a le droit de ne pas être opprimée.  Elle a droit à une vie décente, libre d’agressions ou d’abus de tous genres.  Nul n’a le droit de forcer une musulmane à être moins que ce qu’elle souhaite être.  Les véritables enseignements de l’islam stipulent que la musulmane doit être hautement considérée.





Il est malheureux de constater qu’un grand nombre de musulmanes sont toujours opprimées, partout à travers le monde.  S’il est exact d’affirmer que tel ou tel gouvernement opprime les femmes, ou que les hommes de tel ou tel pays croient acceptable de battre les femmes, il inexact d’affirmer que c’est l’islam comme tel qui opprime les femmes.  Si l’on reconnaissait aux femmes les droits qui leur furent accordés par Dieu, leur oppression serait pratiquement inexistante.





Le prophète Mohammed a dit : « Seul un homme noble traite les femmes de manière honorable.  Et seul l’ignoble les traite de manière indigne. »





Derrière chaque grand homme se cache une femme.  Voilà un dicton bien connu qui était en fait un slogan féministe des années 60.  Mais quand on y pense bien, il y a une vérité derrière cela.  Combien de fois avons-nous entendu parler d’un homme dont la mère à tout sacrifié pour lui donner une éducation, d’une femme qui a cumulé trois emplois pour élever seule ses enfants ou d’une épouse qui demeure silencieusement dans l’ombre, tandis que son mari gravit les échelons en tant qu’homme d’État, politicien, homme d’affaires ou professeur?  Certains hommes atteignent des sommets, dans leur carrière, quand les femmes faisant partie de leur vie les soutiennent et les encouragent à devenir les meilleurs hommes possibles.  Même les prophètes de Dieu profitèrent des sages conseils des femmes de leur entourage.





Voici une série d’articles sur ces femmes qui se tinrent non pas derrière, mais aux côtés des hommes de leur vie.  Ces grandes femmes soutinrent et encouragèrent, chacune à sa façon, des hommes dont la vie fut parsemée de dangers et d’événements imprévisibles.  Mères, épouses, filles; l’influence qu’eurent ces femmes sur les hommes faisant partie de leur vie fut remarquable.  L’islam considère ces femmes comme les meilleures que le monde ait connues.





« Les meilleures femmes de l’humanité sont au nombre de quatre : Mariam, fille d’Imran, Assiya, épouse de Pharaon, Khadija, fille de Khouwaylid, et Fatima, fille du Messager de Dieu [Mohammed]. »[1]





La clef du succès, pour n’importe quelle femme, est de mener sa vie en conformité avec la loi de Dieu.  Comme nous le savons, le mode de vie préconisé par Dieu se trouve décrit dans le Coran et détaillé dans la sounnah (hadiths) du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).  Commençons par les mères : l’islam met l’accent à plusieurs reprises sur le rôle très important qu’elles jouent.  Le prophète Jésus (que la paix soit sur lui), a dit : « Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai.  Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. » (Coran 19:30-32)





 « Et un jour, les anges dirent à Marie : « Ô Marie!  Certes, Dieu t’a élue et purifiée, et t’a préférée à (toutes) les femmes de la création. » (Coran 3:42)





Le gendre et ami proche du prophète Mohammed, Ali, a dit : « J’ai entendu le Prophète de Dieu dire que Marie, la fille d’Imran, fut la meilleure femme de l’humanité. »[2]





Maryam, qui est la version arabe du nom Marie, signifie « servante de Dieu ».  Marie, la mère de Jésus, fut dédiée à Dieu avant même de naître, car sa mère avait promis de dédier son enfant au temple et, ce faisant, avait assuré la liberté de Marie, car elle avait compris que la vraie liberté ne s’atteint que par la soumission totale à Dieu.





En grandissant, Marie apprit à avoir pleinement confiance en Dieu.  Son histoire est racontée dans le Coran, plus particulièrement dans les sourates 3 et 19.  Dans la sourate 5, Marie est décrite comme une siddiqa (une véridique) et ce terme arabe implique plus que le simple fait de dire la vérité.  Il fait référence à une personne qui a atteint un haut niveau de vertu et qui est véridique non seulement avec elle-même et les gens qui l’entourent, mais aussi avec Dieu.  Marie est connue pour avoir rempli son engagement envers Dieu, qu’elle adorait en toute soumission.  Elle était pieuse et chaste et c’est elle qui fut choisie, parmi toutes les femmes, pour devenir mère de Jésus.





Après la naissance de Jésus, Marie dû faire face à une grande épreuve.  Même si c’était une jeune femme croyante, droite et pleine de retenue, imaginez le courage dont elle dû faire preuve pour retourner dans son village avec un bébé dans les bras.  Elle avait quitté son village encore toute jeune, avec une réputation de grande piété et de vertu, et elle revenait en tant que fille-mère.  Imaginez les rumeurs, les ragots et les accusations à son sujet.  Quand les gens du village l’entourèrent et la harcelèrent de questions, elle suivit les consignes de Dieu et ne dit rien.  C’est Jésus lui-même, un bébé blotti dans les bras de sa mère, qui parla, révélant au monde qu’il était un prophète de Dieu (Coran 19:30).





L’islam ne nous en apprend que peu sur la vie partagée par Jésus et sa mère.  Évidemment, nous pouvons présumer que Marie était une femme de son temps.  À l’exception de son éducation et, possiblement, de son habileté à lire, Marie était probablement très semblable aux autres jeunes filles juives de son entourage.  Elle restait probablement à la maison pour s’occuper de diverses tâches comme cuisiner, nettoyer, coudre et aller chercher de l’eau au puits.  Mais, par-dessus tout, elle était une éducatrice.  Jésus apprit certainement d’elle son profond amour pour Dieu et sa confiance inébranlable en Lui.  À quel point le caractère de Marie influença-t-il celui de Jésus durant son enfance?  Sûrement beaucoup.





Quand Jésus entama sa mission, Marie dû se comporter comme toutes les mères, en ravalant ses craintes et en encourageant son fils à faire tout son possible pour plaire à Dieu.  Elle ressentit sûrement les dangers entourant la mission de son fils, mais elle plaça sa confiance en Dieu et se montra reconnaissante envers Lui du destin qu’Il avait choisi pour son fils.





Le rôle de la mère est à la fois important et accablant.  Non seulement expérimente-t-elle à la fois les joies et les difficultés de la grossesse et de l’accouchement, mais elle dédie sa vie entière aux soins de ses enfants.  Il est de sa responsabilité d’élever et d’éduquer ses enfants et d’en faire des êtres pieux et vertueux.  Elle cuisine et nettoie et elle soutient et éduque ses enfants.  Elle est aussi responsable de leur bien-être spirituel, émotionnel et physique.  Le rôle de la mère ne se termine pas au moment où son enfant devient adulte; il se poursuit au-delà et s’étend plus tard à ses petits-enfants.





De nos jours, alors que le rôle des mères est de plus en plus minimisé, les femmes devraient s’inspirer de la force de caractère et du tempérament de femmes telles que Marie, mère de Jésus.





Une autre grande femme, qui éleva un grand homme malgré les difficultés et les pressions qu’elle subissait, fut Assiya.  On se souvient surtout d’elle comme de l’épouse de Pharaon, mais cette grande dame fut également la mère adoptive du prophète Moïse (que la paix soit sur lui).





Comme Marie, la mère de Jésus, Assiya fut une femme choisie par Dieu pour élever un enfant qui allait devenir prophète de Dieu.  Quelles qualités Assiya possédait-elle pour soutenir et influencer Moïse?  Sa plus grande qualité, comme nous allons le découvrir, était son inébranlable confiance en Dieu.  En tant qu’épouse de l’homme le plus puissant et le plus arrogant d’Égypte, Assiya était entourée de luxe, de richesses et de beauté.  Et pourtant, elle était capable de reconnaître que, sans Dieu, l’être humain est perdu, démuni et incomplet.





« Plusieurs hommes ont atteint ce niveau de perfection; mais aucune femme ne l’a atteint à l’exception de Marie, la fille d’Imran, et d’Assiya, l’épouse de Pharaon. »[1]





Quand la mère de Moïse fut contrainte, par les circonstances, de déposer son nouveau-né dans un panier et d’envoyer ce dernier à la dérive sur les eaux du Nil, son cœur en fut quasi irrémédiablement brisé.  Mais Dieu est le meilleur des planificateurs.  La servante d’Assiya trouva le panier, le retira de l’eau et amena le nouveau-né à sa maîtresse, l’épouse de Pharaon.  Assiya, contrairement à son époux arrogant et imbu de lui-même, était une femme vertueuse et compatissante.  Dieu ouvrit son cœur; elle posa son regard sur le nouveau-né blotti dans son panier et ressentit un amour débordant pour lui.  Elle demanda alors à son époux de l’accueillir au sein de leur famille.





« La femme de Pharaon dit : « (Cet enfant) sera une consolation pour moi et pour toi.  Ne le tue pas; il pourrait nous être utile ou peut-être le prendrons-nous pour fils. »  Ils ne pressentaient rien [de ce qui allait advenir]. » (Coran 28: 9)





Encore une fois, le Coran ne nous parle pas d’Assiya de manière détaillée et ne donne pas beaucoup d’information sur sa relation avec son fils adoptif.  Cependant, en tant que croyante, elle dû avoir une profonde influence sur Moïse.  Celui-ci devint un homme franc et direct, qui ne craignait pas d’exprimer le fond de sa pensée ni de prendre la défense des plus faibles de la société.  Chaque fois qu’il était témoin d’oppression ou de cruauté, il ne pouvait s’empêcher d’intervenir.  La psychologie moderne nous apprend que ce sens de la justice et la capacité à ressentir de l’empathie pour les autres s’apprennent dès le plus jeune âge et s’ils sont absents de l’éducation durant l’enfance, ils peuvent difficilement être acquis plus tard dans la vie.  On peut donc présumer qu’Assiya dû inculquer ces qualités à son fils adoptif.





En grandissant, Moïse fut considéré comme un jeune homme possédant beaucoup de sagesse et comme le fils de Pharaon.  Le Coran nous apprend que la vraie mère de Moïse retrouva son fils en étant embauchée comme nourrice par Assiya.  L’érudit Ibn Kathir est d’avis qu’elle devait vivre à même le palais durant les années d’allaitement et que, plus tard, elle jouissait probablement du privilège de lui rendre visite sur une base régulière.  Ainsi, elle dû avoir, elle aussi, une certaine influence sur le caractère de son fils.





 « C’est ainsi que Nous le rendîmes à sa mère, afin qu’elle soit réconfortée et qu’elle ne s’afflige plus, et afin qu’elle sache que la promesse de Dieu est vraie.  Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. » (Coran 28:13)





On peut présumer que Moïse fut un enfant profondément aimé, à la fois par sa vraie mère et par sa mère adoptive.  Il est fort probable qu’avant même d’atteindre la maturité, Moïse connaissait les Enfants d’Israël et comprenait la situation politique en Égypte.  Certaines circonstances, détaillées dans le Coran[2], forcèrent Moïse à fuir l’Égypte et c’est ainsi que, de fils royal, il devint un criminel recherché. 





On peut présumer qu’Assiya connaissait le danger inhérent au fait d’avoir permis à Moïse de comprendre les différences entre sa vie, au palais, et la vie de sa famille biologique, dans les quartiers pauvres.  Plus tard, Pharaon finit par découvrir que son épouse adorait secrètement le même Dieu que Moïse, ce qui le mit dans une rage folle.  Il menaça son épouse, puis tenta de la séduire, mais le cœur de celle-ci n’appartenait plus qu’à Dieu seul.  Pharaon lui offrit deux options, soit de l’accepter, lui, Pharaon, comme son dieu ou de continuer à adorer le Dieu de Moïse et être torturée jusqu’à ce que mort s’ensuive.  Elle choisit la torture et la mort et, lors de ses derniers instants, on l’entendit invoquer Dieu.





 « Et pour ceux qui croient, Dieu cite en exemple la femme de Pharaon quand elle dit: « Seigneur !  Construis-moi une maison auprès de Toi, dans le Jardin, (au Paradis), et sauve-moi de Pharaon et de son œuvre.  Sauve-moi de (ce) peuple injuste. » (Coran 66:11)





En tant que première soignante et éducatrice, la mère porte sur ses épaules de lourdes et nombreuses responsabilités, dont la plus importante est d’enseigner à ses enfants, qui lui ont été prêtés par Dieu, à Le connaître et à L’aimer.  Et la meilleure méthode pour ce faire est tout simplement de prêcher par l’exemple.  En tant que mères, Marie et Assiya enseignèrent une chose très importante aux garçons dont elles avaient la charge : avoir une confiance inébranlable en Dieu et ne s’en remettre qu’à Lui.



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