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On rapporte qu’Abû Mûsâ Al-Ach’arî – Allah l’a agréé – a


dit : Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – a dit : « Celui qui brandit une arme contre nous


n’est pas des nôtres ». Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


La sécurité est un immense bienfait d’Allah – exalté soit-Il – et fait


partie des nécessités de la vie.


D’ailleurs, Allah a rappelé à Ses serviteurs le bienfait de la sécurité en


disant : (Qu’ils adorent donc le Seigneur de cette Maison [la Ka‘ba],


(3) qui les a nourris contre la faim et rassurés de la crainte ! (4)).(2)


En raison de l’importance de préserver la sécurité dans la société,


le Prophète a averti contre le fait de brandir une arme pour terroriser les


gens, jeter l’effroi parmi eux et menacer de les tuer. Ceci inclut la rébellion


contre les détenteurs de l’autorité, refuser de leur obéir et quitter le


groupe.


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des troubles, chapitre des paroles du Prophète


– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège : « Celui qui brandit une arme contre


nous n›est pas des nôtres », hadith numéro 7071) et par Moslim (livre de la foi,


hadith numéro 100).


(2) Sourate Quraych, versets 3-4.


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Les paroles du Prophète dans ce hadith « Celui qui brandit une


arme contre nous n’est pas des nôtres » sont la preuve que celui qui


brandit une arme pour ces raisons ne fait pas partie des disciples de


Moħammad– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – et que ce péché


fait partie des péchés capitaux.


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On rapporte que ‘AbdAllâh ibn Mughaffal – Allah l’a agréé


– a dit que le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges


et le protège – défendit de lancer des pierres et qu’il dit :


« Cela ne permet ni de chasser du gibier ni de neutraliser


un ennemi, mais casse les dents et crève les yeux ». Hadith


rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – veillait à


enseigner aux gens ce qui leur est bénéfique et à les avertir contre ce


qui leur est préjudiciable dans leur pratique religieuse et leur vie terrestre.


C’est pourquoi Allah fit son éloge en disant : (Certes, un Messager pris


parmi vous, est venu à vous, auquel pèsent lourd les difficultés que


vous subissez, qui est plein de sollicitude pour vous, qui est compatissant


et miséricordieux envers les croyants.) et qu’Il rappela le


bienfait de l’avoir envoyé en disant : (Allah a très certainement fait une


faveur aux croyants lorsqu’Il a envoyé chez eux un messager de


parmi eux-mêmes, qui leur récite Ses versets, les purifie et leur enseigne


le Livre et la Sagesse, bien qu’ils fussent auparavant dans un


égarement évident.)


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre de la bienséance, chapitre de la défense de lancer


des cailloux, hadith numéro 6220) et par Moslim (livre du gibier des bêtes immolées,


hadith numéro 1954) dont ce sont les termes.


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Dans ce hadith, le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– défend quelque chose que certains faisaient à l’époque préislamique et


lors des débuts de l’Islam : lancer des pierres. Le Prophète justifia cette


défense en disant que cette pratique n’a aucune utilité. Elle ne sert en


effet ni à tuer du gibier ni à vaincre un ennemi. Elle ne fait que causer des


préjudices, puisqu’elle conduit à casser les dents et à crever les yeux.


Cette défense est générale et s’adresse à tous les gens, grands ou


petits, mais ces derniers ont plus besoin qu’elle leur soit rappelée, puisque


le lancer de pierre est fréquemment pratiqué par eux. C’est la raison pour


laquelle il convient de leur prodiguer des conseils, les orienter et les instruire.


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On rapporte qu’Anas ibn Mâlik– Allah l’a agréé – a dit :


« J’ai servi le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – durant dix années et jamais il ne m’a dit « fi » ».


Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Lorsque le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – migra


de la Mecque à Médine, la mère d’Anas ibn Mâlik – Allah les a agréés


tous les deux – se rendit auprès de lui avec son fils Anas (qui était âgé


de dix ans) et lui dit : « Ô Messager d’Allah, ceci est mon fils Anas. Je te


l’ai amené afin qu’il soit à ton service ». Et le Messager d’Allah l’accueillit.


Depuis ce jour-là, Anas – Allah l’a agréé – fut le serviteur du Messager


d’Allah– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège. Il était ainsi à son


service et se chargeait d’effectuer beaucoup de tâches à sa place, s’éloignant


rarement de lui.


Dans ce hadith, Anas ibn Mâlik nous informe de ce qu’était le comportement


du Prophète. Il nous dit qu’il a servi le Prophète dix années durant


et que pendant toute cette durée, il n’entendit aucun mot de reproche ou


de remontrance de la part du Prophète, ne serait-ce que le simple mot


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre de la bienséance, chapitre du bon comportement


et de la prodigalité, hadith numéro 6038) et par Moslim (livre des vertus, hadith


numéro 2309).


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« fi » que jamais le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège –


ne lui adressa.


Ceci démontre l’éminence du comportement du Prophète avec ses


Compagnons, qu’ils fussent jeunes ou vieux, qu’ils fussent des serviteurs


ou des notables.


Nous déduisons de ce hadith un enseignement important : il nous


est prescrit d’être conciliants avec les employés et les serviteurs qui sont


sous notre autorité, car ils sont des êtres humains comme nous. Il est de


notre devoir de les respecter, de les estimer et de leur donner ce qui leur


revient de droit.


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On rapporte qu’Abû Hurayrah – Allah l’a agréé – a dit : Le


Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– a dit : « Lorsque l’un de vous se lève de la place où il


était assis et qu’il revient, il est celui qui a la priorité pour


s’asseoir à cette même place ». Hadith rapporté par Moslim.(1)


Explication


Notre religion est une religion complète et elle n’a négligé de nous


instruire avec clareté au sujet d’aucune chose, importante ou insignifiante,


qui nous est bénéfique dans notre vie terrestre ou notre vie dans l’au-delà.


Parmi ces choses, il y a ce qui est l’objet de ce hadith : une règle de


bienséance relative aux assemblées.


Cette règle de bienséance est que lorsque quelqu’un s’assoit dans


une assemblée, la quitte puis y retourne, il a la priorité pour se rasseoir à


la place qu’il avait quittée.


Cela concerne tout lieu où l’on s’assoit, comme les assemblées publiques,


les mosquées, les cercles de science, les salles de classe et


autres.


(1) Référencé par Moslim (livre de la salutation, hadith numéro 2179).


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Ainsi, lorsque quelqu’un se lève d’une assemblée puis y retourne peu


après, il est celui qui a la priorité pour s’asseoir à la place qui était la


sienne. Si en revanche il quitte l’assemblée et n’y retourne que longtemps


après, il n’est plus prioritaire pour s’asseoir à la même place, comme


celui qui se lève après la prière de midi et y retourne pour la prière de


l’après-midi ou la prière du coucher du soleil ou bien le lendemain. Celui-ci


n’est plus prioritaire pour s’asseoir à la même place.


Il est à noter que de nombreuses disputes (particulièrement entre


jeunes hommes) ont pour origine un différend pour une place dans une


assemblée, particulièrement à la maison et à l’école.


Si nous nous conformions aux règles de bienséance religieuses dans


nos assemblées, nous serions en plus grande harmonie et nos différends


diminueraient.


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On rapporte qu’Abû Hurayrah – Allah l’a agréé – a dit : Le


Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– a dit : « Les devoirs du musulman à l’encontre du musulman


sont au nombre de six : lorsque tu le rencontres,


tu le salues. Lorsqu’il t’invite, tu acceptes son invitation.


Lorsqu’il te demande de le conseiller, tu lui prodigues un


conseil. Lorsqu’il éternue et qu’il loue Allah, tu invoques


Allah en sa faveur. Lorsqu’il est malade, tu lui rends visite


et lorsqu’il meurt, tu assistes à ses funérailles ». Hadith rapporté


par Moslim.(1)


Explication


Le musulman a de nombreux devoirs à l’encontre des autres musulmans


dont les plus importants sont les six énumérés dans ce hadith.


Le premier devoir est la salutation. Lorsque tu rencontres ton frère


musulman, salue-le et lorsqu’il te salue, réponds à sa salutation.


Le deuxième devoir est de se rendre à son invitation. Lorsqu’il t’invite,


accepte à son invitation et en particulier lorsqu’il t’invite à participer


à un repas de mariage. Auquel cas, répondre présent à l’invitation est


encore plus important et plus obligatoire.


Le troisième devoir est de prodiguer des conseils. Lorsque ton frère


musulman sollicite ton conseil ou te questionne au sujet de quelque chose,


prodigue-lui ce conseil et réponds-lui avec sincérité et bonne volonté.


(1) Référencé par Moslim (livre de la salutation, hadith numéro 2179).


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Le quatrième devoir est d’invoquer la miséricorde d’Allah. Lorsque


ton frère musulman éternue et loue Allah, tu dois invoquer la miséricorde


d’Allah en sa faveur en disant : « YarħamukaLlâh (Qu’Allah te fasse miséricorde)


» et il répondra « Yahdîkumu Llâh wa yuşliħ bâlakum (Qu’Allah


vous guide et améliore votre condition) ».


Le cinquième devoir est la visite. Lorsque ton frère musulman tombe


malade, rends-lui visite et sache que ta visite aura un grand impact sur lui


et te fera mériter une généreuse rétribution de la part d’Allah.


Le sixième devoir est de prendre part à ses funérailles. En effet, les


devoirs du musulman sur son coreligionnaire se perpétuent même après


la mort. Lorsqu’il meurt, assiste à ses funérailles, c’est-à-dire participe à la


prière mortuaire puis rends-toi au cimetière pour assister à l’enterrement.


Il y a en cela un immense bien, puisqu’il inclut l’invocation en faveur du


défunt et une immense rétribution au profit de celui qui est vivant.


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On rapporte qu’Abû Sa’îd Al-Khudrî – Allah l’a agréé – a


dit : Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – a dit : « Donnez son droit au chemin ». On lui demanda


: « Et quel est donc son droit ? » Il répondit : « Baisser


le regard, ne pas faire de mal, rendre la salutation,


ordonner ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable


». Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


À l’époque du Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège-,


les gens s’asseyaient sur les bords des chemins (les rues) et s’y réunissaient


pour discuter et se divertir.


Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège– leur dit :


« Ne vous asseyez pas sur les bords des routes ». Ils lui répondirent


alors : « Nous ne pouvons nous passer de nos réunions », c’est-à-dire


qu’ils avaient besoin de se réunir ainsi. Le Prophète – qu’Allah le couvre


d’éloges et le protège– leur dit alors : « Donnez son droit au chemin ». Ils


lui demandèrent : « Et quel est donc son droit ? ». Il leur répondit en leur


énumérant les quatre droits du chemin suivants :


Le premier est de baisser le regard. Ainsi, celui qui est assis dans


une rue et qui voit la porte d’une maison ouverte, il ne doit pas regarder à


l’intérieur. De même, s’il voit une femme dans la rue, il doit baisser le re-


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des litiges, chapitre des cours des maisons et du


fait de s’y asseoir et de s’asseoir dans les terrains vagues, hadith numéro 2465) et


par Moslim (livre de l’habillement et de la parure, hadith numéro 2121).


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gard en raison des paroles d’Allah « Dis aux croyants de baisser leurs


regards et de garder leur chasteté. C’est plus pur pour eux. Allah est,


certes, Parfaitement Connaisseur de ce qu’ils font. »(2)


Le deuxième est de ne pas faire de mal en ne barrant pas le chemin


et en n’y jetant pas des déchets, des détritus et autres qui nuisent à autrui.


Le troisième est de rendre la salutation. Lorsque quelqu’un salue un


groupe, les personnes présentes doivent répondre à sa salutation. Saluer


n’est, en effet, qu’une Sunna alors qu’y répondre est une obligation,


conformément aux paroles d’Allah : « Si on vous fait une salutation, saluez


d’une façon meilleure, ou bien rendez-la (simplement). Certes,


Allah tient compte de tout. »(3)


Le quatrième est d’ordonner ce qui est convenable et d’interdire ce


qui est blâmable. En effet, Allah fit l’éloge des croyants en disant d’eux


qu’ils ordonnent ce qui est convenable et interdisent ce qui est blâmable.


Il dit ainsi : « Aux croyants et aux croyantes, Allah a promis des Jardins


sous lesquels coulent les ruisseaux, pour qu’ils y demeurent


éternellement, et des demeures excellentes, aux jardins d’Eden [du


séjour permanent]. Et la satisfaction d’Allah est plus grande encore,


et c’est là l’énorme succès. »(4)


(2) Sourate An- Nûr, verset 30.


(3) Sourate An-Nisâ`, verset 86.


(4) Sourate At-Tawbah, verset 71.


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On rapporte que ‘Abd Allâh ibn ‘Umar – Allah l’a agréé – a


dit : Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – a dit : « La personne musulmane qui a quelque


chose qui doit être restitué [après sa mort] n’est pas en


droit de passer deux nuits sans que cela ne soit mis par


écrit ». Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Ce hadith prouve que celui qui a quelque chose qui doit être restitué


[après sa mort], se doit de faire un testament.


Ainsi, si l’être humain a une dette à rembourser, une aumône légale


dont il ne s’est pas encore acquitté, qu’il détient un dépôt ou un bien qu’on


lui a confié ou bien toute autre chose qu’il doit à autrui, mettre cela par


écrit est une obligation le concernant.


Si en revanche il ne doit rien à personne, il n’est pas obligatoire pour


lui de faire de testament, simplement préférable. Pour recommander par


exemple que le tiers (ou moins) de son patrimoine soit versé à des oeuvres


de charité et de bienfaisance.


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des testaments, chapitre des testamentrs, hadith


numéro 2738) et par Moslim (livre du testament, hadith numéro 1627).


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L’une de choses sur laquelle il convient d’attirer l’attention à ce


sujet est que le testament concerne [l’ensemble du patrimoine], même


les choses qui semble n’avoir que peu d’importance, comme la dette d’un


faible montant ou la marchandise de faible valeur que l’on n’a pas encore


payée et d’autres choses du même genre qui sont fréquentes dans la vie


quotidienne des gens.


Une autre chose sur laquelle il convient d’attirer l’attention, c’est


que le testament n’a pas de format déterminé. Il appartient plutôt à celui


qui va le faire, de choisir ce qui le rendra clair et compréhensible. Par


exemple, un texte écrit au stylo sur une feuille, un mail, un SMS ou même


une recommandation orale non écrite. Tout cela est, par la permission


d’Allah, accepté et suffisant.


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On rapporte que ‘Abd Allâh ibn ‘Umar – Allah l’a agréé – a


dit : Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – a dit : « Allah vous défend de jurer par vos ancêtres.


Que celui qui veut jurer, jure par Allah ou qu’il se


taise ». Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Alors qu’ils étaient fraîchement convertis à l’Islam, les Compagnons


– Allah les a agréés – continuaient de jurer par autre qu’Allah, habitués


qu’ils étaient à leurs coutumes préislamiques. Ils juraient par leurs ancêtres,


par leur honneur, par leur loyauté, etc.


Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – leur interdit


donc de jurer par autre qu’Allah et ‘Umar fut l’un de ceux qui entendit le


Prophète interdire cela et il s’y conforma immédiatement, puisque plus


jamais il ne jura par autre qu’Allah.


‘Abd Allâh ibn ‘Umar dit après avoir narré ce hadith : ‘Umar – Allah l’a


agréé – a dit : « Par Allah, je n’ai plus jamais juré par autre qu’Allah après


avoir entendu le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège –


l’interdire ».


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des serments et des voeux, chapitre ne juer pas


par vos ancêtres, hadith numéro 6646) et par Moslim (livre des serments, hadith


numéro 1646).


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Voici donc ce que le musulman doit faire : se conformer avec détermination


à l’ordre d’Allah, sans hésitation, ni atermoiement, ni faiblesse.


Parmi les formes de serments par autre qu’Allah qui existent à


notre époque, il y a les formules « Par ta vie », « Par le Prophète » ou


« Par la Ka’bah »…


Ce sont tous là des serments illicites et même une forme d’associationnisme


à Allah.


‘Abd Allâh ibn ‘Umar – Allah l’a agréé – entendit une fois un homme


dire « Par la Ka’bah » et il lui répondit alors : Ne jure pas par autre qu’Allah,


car j’ai entendu le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges


et le protège – dire « Celui qui jure par autre qu’Allah, commet de la


mécréance ou de l’associationnisme ». Hadith rapporté par Amad, Abû


Dâwûd et At-Tirmidhî.(2) At-Tirmidhî dit à son sujet : Ceci est un hadith


bon. Pour sa part, Al-Albânî – qu’Allah lui fasse miséricorde – le déclara


authentique.


(2) Référencé par Ahmad (vol.10, p.249, hadith numéro 6072), Abû Dâwûd (livre


des serments et des voeux, chapitre de la détestabilité de jurer par les ancêtres,


hadith numéro 3251) et At-Tirmidhî (livre des voeux et des serments, chapitre de la


détestabilité de jurer par autre qu’Allah, hadith numéro 1535) qui en dit : Ceci est


un hadith bon. Al-Albânî le déclara authnetique dans Irwâ` al-Ghalîl (vol.8, p.189,


hadith numéro 2561).


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On rapporte qu’Abû Hurayrah – Allah l’a agréé – a dit :


« Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– n’a jamais critiqué de nourriture. Si elle lui plaisait, il la


mangeait, sinon il la délaissait. » Hadith rapporté par Al-Bukhârî et


Moslim.(1)


Explication


Le Prophète– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – avait de


nobles vertus et une des manifestations de ses nobles vertus est qu’il


aimait les paroles agréables et détestait les paroles mauvaise et vulgaire.


Dans ce hadith, est citée une règle de bienséance prophétique : lorsqu’on


servait de la nourriture au Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et


le protège-, il ne la critiquait jamais. Il ne disait pas par exemple « Cette


nourriture est froide », « Cette nourriture est mauvaise », « Cette nourriture


n’est pas cuite », « Cette nourriture n’est pas bonne », « Cette nourriture


manque de sel » ou d’autres critique. Il était plutôt de son habitude


de manger la nourriture qui lui plaisait et de la délaisser sans la critiquer


quand elle ne lui plaisait.


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des qualités du Prophète, chapitre de la description


du Prophète, hadith numéro 3563) et par Moslim (livre des boissons, hadith numéro


2064).


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Nous devons donc prendre exemple sur le Prophète – qu’Allah le


couvre d’éloges et le protège – en ne critiquant jamais la nourriture. Nous


devons plutôt louer Allah et le remercier pour ses bienfaits et ne dire que


de belles et agréables paroles.


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On rapporte qu’Al-Barâ` ibn ‘Âzib – Allah l’a agréé – a dit :


« Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– avait le plus beau visage qui soit et le meilleur comportement.


Il n’était ni excessivement grand ni petit. » Hadith


rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – avait le meilleur


comportement, c’est-à-dire qu’il avait les meilleures vertus. Allah dit


en le décrivant : « Et tu es, certes, d’une moralité éminente ».(2)


En plus de la beauté de son comportement, il avait aussi une belle apparence


et c’est à ce propos que le Compagnon Al-Barâ` ibn ‘Âzib – Allah


l’a agréé – a dit : Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– avait le plus beau visage qui soit et le meilleur comportement.


Il ajoute que le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège –


était de taille moyenne. Il n’était ni excessivement grand ni petit.


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des qualités du Prophète, chapitre de la description


du Prophète, hadith numéro 3549) et par Moslim (livre des qualités du Prophète,


hadith numéro 93 ou 2337).


(2) Sourate Al-Qalam, verset 4.


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Dans une autre version, Al-Barâ` ibn ‘Âzib a dit : « Le Prophète –


qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – était bien proportionné. Il avait


les épaules larges et ses cheveux descendaient jusqu’aux lobes de ses


oreilles. Je le vis un jour portant un habit rouge et jamais je ne vis quelque


chose qui soit plus beau que lui. »(3)


Par ailleurs, Al-Bukhârî et Moslim ont référencé un hadith dans lequel


Anas – Allah l’a agréé – a dit : « Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre


d’éloges et le protège – avait un teint rosé ». Cela signifie que son teint


était un mélange de blancheur et de rougeur.(4)


Abû Hurayrah dit pour sa part : « Le Messager d’Allah – qu’Allah


le couvre d’éloges et le protège – était si blanc qu’il paraissait être fait


d’argent ».(5)


On rapporte par ailleurs que Jâbir ibn Samuraha a dit : « J’ai vu le


Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – une nuit


de pleine lune et je me mis à le regarder lui, puis la lune. Il me parut alors


plus beau que la lune »(6).


Qu’Allah le couvre abondamment d’éloges et le protège, ainsi que sa


famille et ses Compagnons.


(3) Référencé par Al-Bukhârî (livre des qualités du Prophète, chapitre de la description


du Prophète, hadith numéro 3551) et par Moslim (livre des qualités du Prophète,


hadith numéro 93 ou 2337).


(4) Référencé par Al-Bukhârî (livre des qualités du Prophète, chapitre de la description


du Prophète, hadith numéro 3547) et par Moslim (livre des qualités du Prophète,


hadith numéro 2330).


(5) Référencé par At-Tirmidhî dans Ach-Chamâ`ilm al-Moħammadiyyah (numéro 12)


et déclaré authentique par Al-Albânî dans As-Silsilah aş-Şahîhah (numéro 2053).


(6) Référencé par At-Tirmidhî (livre de la bienséance, chapitre de ce qui a été rapporté


au sujet de l’autorisation de porter du rouge pour les hommes (numéro 3041). Il


dit à son sujet : Ceci est un hadith bon et étrange. Al-Albânî le déclara authentique


dans Mukhtasar ach-Chamâ`il (p.8).


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On rapporte que ‘Amr ibn al-‘Âş – Allah l’a agréé – a dit :


J’ai demandé au Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et


le protège : « Qui aimes-tu le plus parmi les gens ? ». Il répondit


: « ‘Â`ichah ». Je lui demandai ensuite : « Et parmi


les hommes ? ». Il répondit : « Son père ». « Puis qui ? » demandai-


je encore et il répondit : « ‘Umar ibn al-Khaţţâb ».


Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


Le noble Compagnon ‘Amr ibn al-‘Âş – Allah l’a agréé – est un des


plus importants et plus célèbres Compagnons du Prophète – qu’Allah le


couvre d’éloges et le protège.


Il nous informe dans ce hadith qu’il questionna le Prophète – qu’Allah


le couvre d’éloges et le protège – sur les personnes qu’il aime le plus et


que le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – lui répondit


que la personne qu’il aime le plus est son épouse ‘Â`ichah.


‘Amr demanda ensuite : « Et quel homme aimes-tu le plus ? ». Il répondit


: « Son père », c’est-à-dire le père de ‘Â`ichah qui est Abû Bakr


As-Siddîq – Allah l’a agréé.


Ensuite, ‘Amr demanda : « Puis qui ô Messager d’Allah ? ». Le Prophète


– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – lui répondit : « ‘Umar


ibn al-Khaţţâb ».


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des Compagnons du Prophète, chapitre des paroles


du Prophète « Si je devais prendre un ami intime », hadith numéro 3662) et


par Moslim (livre des mérites des Compagnons, hadith numéro 2384).


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Ceci est un mérite suprême de ces trois nobles Compagnons : ‘Â`ichah,


Abû Bakr et ‘Umar ibn al-Khattâb, celui d’être les personnes les plus


aimées du Prophète parmi les gens.


Parmi ce qui doit être connu à ce sujet, il y a l’avis des gens de la


Sunna et du Consensus qui considèrent que les quatre califes sont les


meilleurs des Compagnons et que leur ordre de mérite est le même que


leur ordre de califat. Ainsi, le meilleur d’entre eux est Abû Bakr, puis ‘Umar


ibn al-Khaţţâb, puis’Uthmân ibn ‘Affân, puis ‘Alî ibn Abî Ţâlib – Allah les a


tous agréés.


Ceux-là sont les meilleurs membres de la communauté de Muhammad


– qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – dans l’absolu et notre


devoir à leur égard et à l’égard du reste des Compagnons est de les aimer,


de les respecter, de les estimer et d’affirmer qu’Allah les a agréés


– Allah les a tous agréés et les a satisfaits.


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On rapporte que Anas ibn Mâlik – Allah l’a agréé – a dit :


Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – récitait


souvent l’invocation : « Ô Allah, accorde-nous du bien


dans ce bas monde et du bien dans l’au-delà et épargnenous


le châtiment du Feu ». Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Moslim.(1)


Explication


L’invocation est une des plus importantes bonnes oeuvres et prouve


que l’on vénère Allah et qu’on Lui dédie un culte exclusif. Elle permet aussi


d’obtenir Sa miséricorde, Son pardon, Son agrément, Son amour, Son


acceptation et Ses dons.


D’ailleurs le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège –


invoquait souvent et ses invocations se trouvent un peu partout dans la


Sunna, à l’instar des six principaux livres de hadiths qui sont : le Şahîh


d’Al-Bukhârî, le Şahîh de Moslim, les Sunan d’At-Tirmidhî, les Sunan


d’Abû Dâwûd, les Sunan d’An-Nasâ`î et les Sunan d’Ibn Mâjah.


Mais bien que les invocations du Prophète – qu’Allah le couvre


d’éloges et le protège – soient nombreuses, il récitait cependant souvent


cette invocation : « Ô Allah, accorde-nous du bien dans ce bas monde


(1) Référencé par Al-Bukhârî (livre des invocations, chapitre des paroles du Prophète


« Ô Allah, accorde-nous du bien dans ce bas monde », hadith numéro 6389) et par


Moslim (livre de l’évocation et de l’invocation, hadith numéro 2690).


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et du bien dans l’au-delà et épargne-nous le châtiment du Feu ». La


raison est qu’il s’agit d’une invocation très importante présente dans le


Coran et qu’elle réunit le bien de ce bas monde et le bien de l’au-delà.


Le cheikh ‘Abd ar-Raħmân As-Sa’dî – qu’Allah lui fasse miséricorde


– a dit(2) :


« Le bien de ce bas monde qui est demandé dans cette invocation


englobe tout ce qui se produit d’agréable pour l’être humain, comme une


subsistance facile, abondante et licite, une épouse vertueuse, une progéniture


rassurante, la quiétude, le bonheur, une science bénéfique, de


bonnes oeuvres ainsi que les autres choses qui sont désirées.


Le bien de l’au-delà c’est échapper aux châtiments dans la tombe, le


Jour de la Résurrection et en Enfer, ainsi qu’à obtenir l’agrément d’Allah,


jouir des délices éternels et être proche du Seigneur Miséricordieux.


Cette invocation est, pour ces raisons, l’invocation la plus exhaustive


et celle qui mérite le plus d’être préférée. C’est pourquoi le Prophète –


qu’Allah le couvre d’éloges et le protège – la récitait souvent et encourageait


les gens à la réciter.


(2) Dans son exégèse du Coran, verset 201 de Sourate Al-Baqarah.


86


39


On rapporte qu’Abû Hurayrah – Allah l’a agréé – a dit :


Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– a dit : « Lorsqu’un être humain meurt, ses oeuvres


cessent excepté ces trois : une aumône perpétuelle, une


science dont on tire profit et une progéniture vertueuse


qui invoque en sa faveur ». Hadith rapporté par Moslim.(1)


Explication


Allah – exalté soit-Il – ordonna à Ses serviteurs d’accomplir les bonnes


oeuvres qui les rapprochent de Sa miséricorde et qui les sauvent de Sa


colère et de Sa punition.


Dans ce hadith, le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– nous informe que lorsqu’un être humain meurt, ses oeuvres cessent


excepté trois :


La première est de faire de son vivant une aumône dont on tire profit


après la mort du bienfaiteur, comme creuser un puits qui continue à produire


de l’eau. Ainsi, à chaque fois que quelqu’un tire profit de ce puits,


celui qui l’a creusé, est rétribué et récompensé pour cela dans sa tombe.


Il en est de même pour ce qui est de construire des mosquées, des


hôpitaux et des écoles, d’offrir des exemplaires du Coran et autres oeuvres


bénéfiques.


(1) Référencé par Moslim (livre du testament, hadith numéro 1631).


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La deuxième est la science dont on tire profit. Ainsi, celui qui instruit


des gens, les exhorte et les oriente ou bien écrit un livre, participe à


l’impression, à la distribution et à la diffusion d’une oeuvre contenant une


science bénéfique en reçoit une rétribution de son vivant et après sa mort.


La troisième est la progéniture vertueuse, le mot progéniture comprend


aussi bien les garçons que les filles. Ainsi, lorsqu’un homme éduque


bien ses enfants ou qu’une femme éduque bien ses enfants, toutes


les bonnes oeuvres de ceux-ci sont ajoutées à la balance de celui qui les


a éduqués. En outre, une progéniture vertueuse invoque Allah au profit de


sa mère et de son père afin qu’ils continuent à être rétribués et à profiter


de la grâce d’Allah.


88


40


On rapporte que Jâbir ibn ‘Abd Allâh – Allah l’a agréé – a


dit : Le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – a dit : « Chaque serviteur sera ressuscité dans


la situation où il est mort ». Hadith rapporté par Moslim.(1)


Explication


Ce hadith mentionne le dénouement heureux qui est une des choses


auxquelles les gens de bien et de droiture accordent, depuis l’époque des


Compagnons du Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège –


jusqu’à nos jours, une importance particulière.


Le dénouement heureux est le nom du moment où l’être humain


achève sa vie. [Il est heureux si ce moment arrive et le trouve] dans un


état de foi [faisant] le bien et de bonnes oeuvres.


Dans ce hadith, le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le protège


– nous informe que lorsque l’être humain meurt dans une situation


donnée, il sera ressuscité le Jour de la Résurrection dans la même situation.


Ainsi, celui qui meurt en proclamant la talbiyah lors du grand ou du


petit pèlerinage sera ressuscité en proclamant la talbiyah. De même, celui


qui meurt en évoquant Allah sera ressuscité le Jour de la Résurrection


évoquant Allah. À l’inverse, celui qui meurt en commettant un péché sera


(1) Référencé par Moslim (livre du Paradis et de la description de ses délices et de ses


habitants, hadith numéro 2878).


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ressuscité le Jour de la Résurrection commettant le même péché, nous


demandons à Allah de nous épargner et de nous prémunir.


C’est pourquoi nous devons éviter de commettre de mauvaises


oeuvres et passer notre temps à accomplir de bonnes oeuvres afin que


notre dénouement soit heureux et que nous soyons ressuscités le Jour de


la Résurrection bénéficiant de la miséricorde, du pardon et de l’agrément


d’Allah.


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Table des matières


Premier hadith : « L’Islam a été bâti sur cinq [piliers]… »


Deuxième hadith : « Associer quelque chose à Allah, l’impiété filiale ... »


Troisième hadith : « Le musulman est celui dont les musulmans sont à


l’abri de sa langue et de sa main »


Quatrième hadith : « Les signes de l’hypocrite sont au nombre de


trois… »


Cinquième hadith : « L’homme n’est séparé de l’associationnisme et de


la mécréance que par le délaissement de la prière »


Sixième hadith : « Le musulman fort est meilleur et plus aimé par Allah…


»


Septième hadith : « Celui qui effectue les ablutions avec perfection… »


Huitième hadith : « Celui qui ment délibérément sur moi … »


Neuvième hadith : « N’entrera pas au paradis celui qui a le poids d’un


moucheron d’orgueil dans le coeur »


Dixième hadith : « Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran


et l’enseigne »


Onzième hadith : « Deux formules sont légères pour langue … »


Douzième hadith : « Mon ami intime – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – m’a recommandé trois choses : … »


Treizième hadith : « Le serviteur est le plus proche de son Seigneur lorsqu’il


se prosterne… »


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Quatorzième hadith : « Maudire un croyant est aussi grave que le tuer »


Quinzième hadith : « Ô fils d’Adam, dépense [pour autrui] et Je dépenserai


pour toi »


Seizième hadith : « Aucune fatigue ou maladie n’atteint le croyant… »


Dix-septième hadith : « Vous n’entrerez pas au Paradis avant d’avoir la


foi… »


Dix-huitième hadith : « Qu’un homme ne regarde pas les parties intimes


d’un autre homme… »


Dix-neuvième hadith : « Nous ne te l’avons rendu que parce que nous


sommes en état de sacralisation »


Vingtième hadith : « Aucun calomniateur n’entrera au Paradis »


Vingt et unième hadith : « Aucun musulman ne plante une plante ni ne


sème de grains… »


Vingt-deuxième hadith : « Laissez-le, car celui à qui un droit est dû peut


parler »


Vingt-troisième hadith : « Que celui qui se réjouirait d’être sauvé par Allah


de la terreur du Jour de la Résurrection… »


Vingt-quatrième hadith : « Celui qui nous trompe n’est pas des nôtres »


Vingt-cinquième hadith : « Celui qui, par un serment, s’accapare ce qui


revient de droit à un musulman… »


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Vingt-sixième hadith : « Facilitez et ne rendez pas les choses difficiles


! ... »


Vingt-septième hadith : « Celui qui brandit une arme contre nous n’est


pas des nôtres »


Vingt-huitième hadith : « le Messager d’Allah – qu’Allah le couvre d’éloges


et le protège – défendit de lancer des pierres… »


Vingt-neuvième hadith : « J’ai servi le Prophète – qu’Allah le couvre


d’éloges et le protège – durant dix années… »


Trentième hadith : « Lorsque l’un de vous se lève de la place où il était


assis… »


Trente et unième hadith : « Les devoirs du musulman à l’encontre du musulman


sont au nombre de six… »


Trente-deuxième hadith : « Donnez son droit au chemin »


Trente-troisième hadith : « La personne musulmane qui a quelque chose


qui doit être restitué [après sa mort]… »


Trente-quatrième hadith : « Allah vous défend de jurer par vos ancêtres… »


Trente-cinquième hadith : « Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et


le protège – n’a jamais critiqué de nourriture… »


Trente-sixième hadith : « Le Prophète – qu’Allah le couvre d’éloges et le


protège – avait le plus beau visage qui soit… »


Trente-septième hadith : « J’ai demandé au Prophète – qu’Allah le couvre


d’éloges et le protège : « Qui aimes-tu le plus parmi les gens ? »


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Trente-huitième hadith : « Ô Allah, accorde-nous du bien dans ce bas


monde… »


Trente-neuvième hadith : « Lorsqu’un être humain meurt, ses oeuvres


cessent… »


Quarantième hadith : « Chaque serviteur sera ressuscité dans la situation


où il est mort »


94



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