Allah, le Très-Haut, nous a ordonné d’obéir au Prophète (Bénédiction et salut d'Allah soient sur lui)
Il dit :
« Obéissez à Allah, obéissez au Messager, et prenez garde (ne vous approchez pas de ces choses défendues) ! Si ensuite vous vous détournez... alors sachez qu'il n'incombe à Notre Messager que de transmettre le message clairement. » (Coran : 5/95).
Allah, le Très-Haut, nous a informé que le fait d’obéir au Prophète (Bénédiction et salut d’Allah soient sur lui) c’est obéir à Allah, le Très-Haut.
Il dit :
« Quiconque obéit au Messager obéit certainement à Allah. Et quiconque tourne le dos, Nous ne t'avons pas envoyé (Ô Mohammed) à eux comme gardien. » (Coran : 4/80).
Allah, le Puissant et Majestueux, nous a mis en garde contre la désobéissance à son égard puisqu’elle peut entrainer le musulman dans une épreuve, celle du Chirk (associanisme).
Il dit :
« Ne considérez pas l'appel du Messager comme un appel que vous vous adresseriez les uns aux autres. Allah sait certes ceux des vôtres qui s'en vont furtivement. Que ceux, donc, qui s'opposent à son commandement (Sunna) prennent garde qu'une Fitna (épreuve) ne les atteigne ou que ne les atteigne un châtiment douloureux. » (Coran : 24/63).
Allah, le Très-Haut, nous a informé que le rang de la prophétie qu’Il a accordé à Son Prophète (Bénédiction et salut d’Allah soient sur lui) nécessite que les croyants lui vouent le plus grand respect.
Il dit :
« Certes, nous t'avons envoyé en tant que témoin, annonciateur de la bonne nouvelle et avertisseur, pour que vous croyiez en Allah et en Son messager, que vous l'honoriez, reconnaissiez sa dignité, et Le glorifiez matin et soir. » (Coran :48/8-9).
Le musulman ne peut être un vrai croyant avant d’aimer le Prophète (Bénédiction et salut d'Allah soient sur lui) plus qu’il n’aime sa propre personne, ses (père et mère), ses enfants et l’ensemble des gens.
D’après Anas (Qu’Allah soit satisfait de lui), le Prophète (Bénédiction et salut d’Allah soient sur lui) a dit :
« L’un d’entre vous ne croira pas avant qu’il ne m’aime plus qu’il n’aime sa propre personne, ses (père et mère), ses enfants et l’ensemble des gens.»