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témoignages sur la véracité de la mission du meilleur prophète envoyé par dieu:





louanges à dieu moult fois renouvelées. louanges à dieu à la hauteur de ses bienfaits et de son supplément de faveur. seigneur, louanges à toi comme il se doit pour ta face honorée et la magnificence de ton pouvoir. gloire à toi seigneur ; je ne suis point capable de te louer comme il convient ; tu es tel que tu t’es loué toi-même. j’atteste qu’il n’y a de divinité hormis allah, l’unique sans associé. et j’atteste que notre maître et prophète muhammad est le serviteur, le messager, l’élu et l’ami intime de dieu, le meilleur prophète envoyé par dieu. dieu l’a envoyé au monde entier en guise d’annonciateur de la bonne nouvelle et en guise d’avertisseur. seigneur, accorde ta prière, ta paix et tes bénédictions, à notre maître muhammad, ainsi qu’à sa famille, une prière et une paix permanentes et indissociables jusqu’au jour dernier.





l'islam, cette religion en possession des qualités de la perfection se passe largement d’un quelconque témoignage qui lui est extérieur à fin de prouver la validité de son message et la droiture de sa conviction, ainsi que la véracité de son porteur à l’humanité, le noble messager (pbsl), car mohamed qui a sorti les gens de l’obscurité de l’incrédulité et l’égarement à la lumière de la croyance en  dieu seul, et de l’adoration des idoles à l’adoration de l’unique dieu, n’a nullement besoin d’une attestation en dehors de sa religion, pour prouver qu’il est le sceau des messagers et que son message est le dernier des messages.





mohamed (pbsl) par lequel, dieu a ouvert des yeux aveugles, fait entendre des oreilles sourdes et soulager des cœurs serrés, n’a pas besoin d’une certification en dehors  du livre qui lui est été révélé. et si nous sommes amenés à évoquer quelques annonciations indiquées dans la torah et l’évangile, c’est pour deux  raisons : 





la première émane de notre grand amour et notre ardente  passion au propriétaire du grandiose message (pbsl), pourquoi pas et c’est lui notre dirigeant, notre maître, notre enseignant et notre meneur. jamais homme ne nous a fais parvenir ce que mohamed (pbsl) peut se vanter de nous avoir offerts ; est ce que son bienfait sur toutes les créatures a de pareil ou d’autres auteurs ?





pourquoi ne fouillons  pas dans les premiers et anciens livres, cherchons ses traces et poursuivons ses vestiges, pour que sa mention nous procure bonheur, joie et sérénité  des coeurs.





la deuxième raison est notre aspiration à guider les égarés,  affermir les douteux et orienter à la bonne  direction les errants, parmi ceux appartenants à cette religion et ceux en dehors d’elle.





-      le livre sacré scintille toujours de la lumière de mohamed


le coran a mentionné mainte fois que les gens du livre connaissent le prophète (pbsl) une connaissance exacte, en effet le prophète (pbsl) est connu de :


-      ceux qui connaissent le livre, dieu exalté soit-il dit : " et ceux qui ne croient pas disent : "tu n'es pas un messager". dis : "dieu suffit, comme témoin entre vous et moi, et ceux qui ont la connaissance du livre (sont aussi témoins)". (le tonnerre : verset 43)





-      les savants des enfants d'israël, dieu exalté soit-il dit : "et ceci était déjà mentionné dans les ecrits des anciens (envoyés). . n'est-ce pas pour eux un signe, que les savants des enfants d'israël le sachent ? (les poètes : verset 196/197)





-       ceux qui le connaissent comme ils connaissent leur enfants, dieu exalté soit-il dit : " ceux à qui nous avons donné le livre, le reconnaissent comme ils reconnaissent leurs enfants. or une partie d'entre eux cache la vérité, alors qu'ils la savent !" (la vache: verset 146)





-      ceux qui ont l'évangile et la thora : dieu exalté soit-il dit " ceux qui suivent le messager, le prophète illettré qu'ils trouvent écrit (mentionné) chez eux dans la thora et l'evangile." ( al-araf : verset 157)





le coran donc prouve solidement cette connaissance, et cela nous incite à fouiller et à prospecter les anciens livres afin de poursuivre les traces de l'évocation du prophète (pbsl) :





le prophète dit : « mon cas et celui des prophètes qui m’ont précédé est pareil au cas d’un homme qui a bâti une maison, l’a embellie et ornée, laissant vacante la place d’une brique. les gens viennent en faire le tour, l’admirent et disent : dommage !  pourquoi n’a t’on pas mis cette brique ? – eh bien, je suis cette brique ! je suis le sceau des prophètes ! » rapporté par el boukahri et mouslim .





le hadith mentionné dessus, assimile le prophète, en tant que porteur du dernier des messages et tenant compte de sa place parmi les prophètes,  à la brique de l’angle ou bien la brique fondamentale en l’absence de laquelle la construction ne serait parachevée ni son embellissement et sa beauté.





conformément et en rapport avec ce concept, nous allons déceler  ce que dit le livre sacré de cette brique de l’angle ! il est évoqué dans l’évangile de matthiew, verset 21 paragraphe 42, 43, 44





"21:42


- jésus leur dit: n'avez-vous jamais lu dans les écritures: la pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle; c'est du seigneur que cela est venu, et c'est un prodige à nos yeux?


21:43 - c'est pourquoi, je vous le dis, le royaume de dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits.


21:44 - celui qui tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé"





ce sont des mots que jésus (paix soit sur lui) adressa à une assemblée de juifs après les avoir admonestés pour avoir tué les prophètes et réfuté les messages divins…





ce texte explicite comment jésus (pssl) informe les juifs de leur substitution par dieu par une autre nation qui ressuscitera les consignes de la religion et exécutera son message (c’est pourquoi je vous le dis, le royaume de dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits), tout en leur parlant de la pierre qui sera la principale de l’angle (la pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l’angle).





jésus (psl) continue à parler de cette pierre qui sera la principale de l’angle en disant (celui qui  tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé). l’utilisation des 2 termes (brisera) et (écrasé) assure qu’il désigne le prophète (pbsl) que dieu avait soutenu par la force matérielle, opérant plusieurs guerres jusqu’à l’épanouissement de cette religion et l’écrasement de ses ennemis.





par ailleurs, ce serait d’une incohérence flagrante de calquer cette prophétie sur jésus, d’une part par ce que lui-même fait part de la nation des israéliens, et d’autre part cet énoncé « c’est un prodige à nos yeux » témoigne absolument qu’il s’agit d’une autre personne que lui.





les traits caractéristiques de ce récit  nous donne donc l’instruction que ce qui est désigné par « la pierre de l’angle » n’est personne d’autre que mohamed (pbsl) qui dit à son sujet : «  je suis la brique et je suis le dernier des prophètes »  et que l’autre nation que dieu fera grâce de son royaume après l’avoir arraché aux israéliens ne peut être que la nation de mohamed (pbsl).





- lieu de sa révélation c’est bien celle de bacca





dieu exalté soit –il dit dans son noble  livre : « 96.   la première maison qui a été édifiée pour les gens, c'est bien celle de bakka (la mecque) bénie et une bonne direction pour l'univers. 97. là sont des signes évidents, parmi lesquels l'endroit où abraham s'est tenu debout; et quiconque y entre est en sécurité. et c'est un devoir envers dieu pour les gens qui ont les moyens, d'aller faire le pèlerinage de la maison. et quiconque ne croit pas... dieu se passe largement des mondes. » al-imrane  96/97 





le verset parle de la maison de dieu, et désigne bacca en tant que lieu accueillant la maison de dieu qu’il ordonna de prendre pour pèlerinage.





 procédant par analogie, et voyons s’il y a mention de la maison de dieu à bacca dans le livre sacré, que les gens prennent pour pèlerinage.





pour y parvenir nous allons lire ce que le psaume 84 relate dans ses versets 4/5/6/7





"84:4


-  heureux ceux qui habitent ta maison! ils peuvent te célébrer encore. pause.





84:5


-  heureux ceux qui placent en toi leur appui! ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés.





84:6


-  lorsqu'ils traversent la vallée de baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions.





84:7


-  leur force augmente pendant la marche, et ils se présentent devant dieu à sion."





si dieu dit :- ils se présentent devant dieu à sion- la question qui s’impose consiste à connaître le lien existant entre sion et la maison sacrée à bacca. sachant que le terme sion signifie selon le dictionnaire anglais du livre sacré : le lieu sacré ou bien la pure société religieuse, comme il est opportun de signaler que ce même dictionnaire n’a su situer où se trouve bacca, se contentant de dire qu’il s’agit probablement d’un lieu que les pèlerins traversent !! est ce qu’il aurait existé d’autre bacca vers où les musulmans se dirigent  pour le pèlerinage ?





son prénom mohamed ou ahmed :





dieu très haut dit dans son noble livre : 6. et quand jésus fils de marie dit : "ô enfants d'israël, je suis vraiment le messager de dieu [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui, dans la thora, est antérieur à moi, et annonciateur d'un messager à venir après moi, dont le nom sera "ahmad". puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent : "c'est là une magie manifeste"... assaf : 6





le prophète mohamed (pbsl) est l’unique envoyé après jésus (pssl), or les chrétiens nient la venue d’un prophète après jésus (pssl), un reniement que nous allons démentir à travers les textes du livre sacré, prouvant formellement que jésus (pssl) a prédit cette venue.





le verset 16 du paragraphe 7 au 13 de l’évangile de jean structure fondamentalement cette annonciation sur la langue du christ (pssl) s’adressant à ses disciples peu avant son départ :





« 16:7 - cependant je vous dis la vérité: il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai.


16:8 - et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement:


16:9 - en ce qui concerne le péché, parce qu'ils ne croient pas en moi;


16:10 - la justice, parce que je vais au père, et que vous ne me verrez plus;


16:11 - le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé.


16:12 - j'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant.


16:13 - quand le consolateur sera venu, l'esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. »





le terme consolateur comme il est précisé dans le dictionnaire du livre sacré veut dire : avocat, défenseur ou bien intercesseur.





 christ continue toujours à propos de ce consolateur, par : (16:12 - j'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant.16:13- quand le consolateur sera venu, l'esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir.)





une déclaration claire du christ (pssl) que la législation n’est pas encore parachevée, du moment qu’il affirme à ses disciples, juste avant son départ, qu’il n’a pas tout dit par leur manque d’aptitude de porter les choses en ce moment, et que c’est à ce consolateur qu’incombe la tâche de parachever la législation (quand le consolateur sera venu, l’esprit de vérité,  il vous conduira vers toute la vérité).la question donc logique à se poser est : qui est donc ce consolateur ou l’esprit de la vérité annoncé par  christ (pssl).





si nous passons maintenant aux anciennes éditions, pour y voir comment le mot consolateur existant dans les nouvelles éditions est évoqué. c’est le mot ‘’parclet’’ qui se trouve à sa place ; un terme qu’aucun des prêtres ne nie être l’origine du mot consolateur, de même que sa signification dans le dictionnaire du livre sacré est pareille,  pourquoi donc la divergence ?!!





a préciser que le mot parclet est dérivé des mots grecques : ‘’ periclutos’’ et ‘’paraclutos’’le premier mot veut dire : celui que se loue, ou bien loué : mohamed, ou bien ahmed le deuxième désigne le consolateur comme dans le texte.





les moines chrétiens insistent à imputer comme origine au terme ‘’parclet’’  le mot‘’ paraclutos’’ , alors que nos savants musulmans en voient l’origine dans le mot ‘’ periclutos’’  qui aurait été changé en ‘’paraclutos’’  pour écarter la prophétie du prophète (pbsl). 





loin de cette divergence entre paraclutos et periclutos, on se contente de ce que nous avons prouvé de la prédiction du christ (pssl) d’un messie après lui qui ne saurait aucunement que le messager de l’islam (pbsl).





ii- les preuves de sa prophétie (pbsl) à travers ce qu'il a annoncé de ce qui va se produire après lui :





a- ses prophéties dans la conquête de certains territoires:





1- la conquête du ch-cham et de la perse :





al-barâ ibn 'âzib (رضي الله عنه) narre : "pendant que nous creusions le fossé, un rocher nous donna beaucoup de mal : aucune pioche ni massue ne l'entamait. nous nous en sommes plaints au prophète qui prit la pioche de salmân al-fârissi et dit : "au nom de dieu".


il frappa un premier coup qui arracha le tiers du rocher et une vive lumière en sortit.


le prophète s'exclama : "allâhou akbar [dieu est grand], j'ai reçu les clés de la mésopotamie ! par dieu, je viens de voir ses palais rouges à l'instant et de cet endroit !"


puis, il frappa un deuxième coup qui en arracha un autre tiers et une vive lumière apparut dans la direction de la perse.


le prophète dit : "dieu est grand, j'ai reçu les clés de la perse ! par dieu, je vois le palais blanc d'al-madâ'in [le nom donnée par les arabes à la capitale de la perse] de cet endroit même ! gabriel m'a dit que ma nation en sera victorieuse alors soyez heureux de cette bonne nouvelle !"


puis, le prophète frappa un troisième coup et dit : "au nom de dieu", le reste du rocher se brisa et une lumière vive jaillit du côté du yemen comme une torche au cœur de la nuit noire.


le prophète s'exclama : "allâhou akbar, j'ai reçu les clés du yemen. par dieu, je vois d'ici les portes de sanca."


c'est alors que les hypocrites se dirent entre eux comme nous le révèle coran: {dieu et son prophète ne nous font que de fausses promesses}. par la suite, après la mort du prophète (saws), le compagnon aboû horayra, voyant les armées musulmanes aller de victoire en victoire et de conquête en conquête disait : "conquérez toutes les villes que vous voulez, il n'y en a pas une dont on n'a pas donné les clés au prophète".





2- la conquête de l'égypte et de constantinople :





le prophètes (pbsl) dit un jour à ses compagnons : "l'égypte sera conquise après ma mort. soyez aimables et bienveillants envers son peuple. traitez-les avec douceur, car vous avez une parenté et un devoir envers eux.' ( rapporté par at-tabri )





ainsi les informa-t-il que l'islam atteindrait l'égypte de leur vivant, et il leur demanda de préserver la parenté établie avec eux par son mariage avec marie, la copte égyptienne, comme et des siècles avant la conquête de l'anatolie et de constantinople (aujourd'hui istanbul), il avait prédit que les armées musulmanes atteindraient l'europe et que constantinople serait conquise. beaucoup de tentatives furent faites pour réaliser cela et être béni, car selon les paroles du prophète : « constantinople sera conquise. béni soit le commandant qui la conquerra et bénies soient ses troupes!» ( rapporté par ahmad dans son musnad )





toutes ces conquêtes ont été exécutées après sa mort, et se sont achevées exactement comme il (pbsl) l'avait prédit.





iii- sa prophétie et les signes de la fin du monde:





tous les prophètes d'allah (pbse) sans exception ont annoncé à leur peuple respectif la fin du monde, le "quiyâmah". cependant, le prophète mouhammad (pbsl) a enseigné à sa communauté que l'heure était maintenant relativement proche, et il (pbsl) fut celui qui a donné le plus de détails à sa "oummah" à ce sujet.





ainsi et parmi les signes que le prophète (pbsl) annonça à sa communauté on peut citer :





·         les morts subites et les assassinats augmenteront considérablement.





"l'heure n'aura pas lieu tant que n'augmentera pas le "hardj." quand on demanda au prophète mouhammad (pbsl) le sens du "hardj", il expliqua "le meurtre, le meurtre…" (mouslim)





"par celui qui tient ma vie entre ses mains, ce monde ne disparaîtra pas avant que ne vienne pas une époque pour les gens où l'assassin ne saura pas pourquoi il a tué et la victime ne connaîtra pas non plus pourquoi elle a été tuée. " (mouslim)





pour ce qui est des morts subites, un hadith de tabrâni fait allusion à leur augmentation à la fin des temps.





·         le temps se contractera.





"l'heure n'aura pas lieu tant que le temps ne se sera pas contracté, au point que l'année passera comme un mois, le mois comme une semaine, la semaine comme un jour, le jour comme une heure; et l'heure s'écoulera aussi vite qu'un tison enflammé." (tirmidhi)





·         le commerce se généralisera, mais les marchés connaîtront dans leur ensemble la récession.





"avant la venue de l'heure, il y aura (..) l'extension du commerce (possible allusion au phénomène de mondialisation commercial)…" (ahmad)





"… (quand) la femme épaulera son époux dans son commerce, et le marché connaîtra la récession." (ibné mardawayh).





·         les gens n'occuperont plus la place qui leur revient et des changements importants auront lieu dans le monde.





on rapporte que le prophète mouhammad (sws), répondant à une question de djibraïl (alayhis salâm) au sujet des signes de l'heure, dit: "quand tu verras la servante engendrer sa maîtresse (possible allusion à la désobéissance des enfants envers leurs parents), et les va-nu-pieds, les gueux, les miséreux et les bergers rivaliser dans la construction de maisons de plus en plus hautes." (boukhâri et mouslim).





·         l'impudeur et le vice se répandront, avec notamment la généralisation de l'homosexualité et du lesbianisme.





le prophète mouhammad (swsam) disait à ce sujet: "la fin du monde n'aura pas lieu tant que les gens ne s'accoupleront pas en public dans la rue comme le font les ânes." (ibné hibbân, bazzâr)





"parmi les signes de l'heure: l'apparition de la grossièreté et de l'indécence..." (tabrâni)





"quand les hommes se satisferont des hommes et les femmes des femmes." (tabrâni)





"(quand)...prolifèreront les enfants adultérins." (tabrâni)





"... les femmes seront dévêtues tout en étant habillées..."(ahmad et hâkim)





"parmi les signes de l'heure: ... (la généralisation) de l'adultère" (boukhâri)





·         les liens familiaux seront rompus.


"quand les liens de sang seront rompus..." (moussannaf ibné abi chayba)





"... (quand) l'homme obéira à sa femme et se montrera irrespectueux à l'égard de sa mère, quand il favorisera son ami et éloignera son père..."


(tirmidhi)





·         les forces de police et de sécurité seront nombreuses.


"quand les forces de police se seront multipliées..." (tabrâni).





·         les saisons seront trompeuses.





"viendront pour les gens des saisons trompeuses..." (ahmad, ibné mâdja et hâkim) d'après certains commentateurs, ce hadith fait allusion à l'augmentation des pluies avec la diminution des récoltes. il est aussi possible que ce hadith fasse allusion aux anomalies climatiques qui se multiplieront.





les signes que nous avons cité ci-dessus font partie des signes intermédiaires il s'agit des évènements qui ont déjà commencé à se produire, mais qui ne


sont pas pour autant terminés. beaucoup d'entre eux se réalisent encore


actuellement et continueront à voir le jour jusqu'à ce que surviennent les


signes majeurs.





ainsi donc, l'évangile, la thora, le coran, les hadiths tous prouve que mohammad ibnou abd allah est incontestablement le serviteur et le prophète que dieu a envoyé à tous les humains blancs et noirs. sa mission a clos toute mission prophétique antérieure. point de prophète après lui.





logiquement parlant, quoi d'impossible que dieu ait envoyé mohammed, lui, qui avait déjà envoyé des centaines de messagers et de prophètes avant lui?





pourquoi, alors méconnaître la mission de mohammed et désavouer sa prophétie universelle?





au nom d’allah, l’infiniment miséricordieux, le très miséricordieux


l’exil vers allah et son prophète (r)





extraits de : e-risâla e-tabûkiya d’ibn el qaïyam el jawziya.





que les prières et les salutations d’allah soient sur notre prophète mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses compagnons !





il existe deux sortes d’exil ; l’une consiste à se déplacer physiquement d’un endroit vers un autre et l’autre qui occupera ici notre attention, consiste à s’orienter vers allah et son messager (r) par le cœur. le véritable exil et son origine proviennent du cœur ; les membres ne font que suivre ses aspirations. l’exil vers allah consiste à fuir tout amour, toute crainte, tout espoir, toute confiance, toute adoration, toute invocation, toute soumission, toute résignation, toute humiliation voués à quiconque en dehors de lui pour se réfugier vers lui. ainsi, le serviteur fuit à la fois son seigneur pour retrouver son seigneur ; le fuir relève de « l’unicité dans la seigneurie » dans le sens où il fuit le mauvais destin et les interdits. tandis que fuir vers lui relève de « l’unicité dans l’adoration » dans le sens où il se réfugie vers son adoration et ses commandements. il n’y a pas d’autre échappatoire pour fuir la création – ce qui revient en fait à fuir le créateur en sachant que rien n’échappe à son pouvoir et à sa création – que de se réfugier vers l’amour du créateur…





quant à s’exiler vers le messager d’allah (r), il s’agit d’emprunter le chemin qu’il a tracé à sa nation et de s’éloigner des sentiers perdus. cependant, en suivant sa voie on devient un étranger au milieu des hommes, seul dans la foule, si loin des habitations adjacentes, isolé d’un voisinage si nombreux. on ressent de la répulsion envers l’univers familier et de l’attraction envers l’univers étranger…





les limites de cet exil vers le messager (r) consistent à faire voyager l’esprit pour lui faire puiser directement à la source les enseignements de l’islam, qui s’incarnent à travers la révélation rapportée par mohammed (r). aucun citadin n’a le droit dans son exil intérieur, de se référer aux coutumes des ancêtres, sous le prétexte paresseux qu’ils sont plus à même de faire accéder à la lumière de la connaissance. cet exil est pourtant imposé à tout musulman. il correspond à la deuxième partie de « l’attestation de foi » (mohammed est le messager d’allah (r)) de la même façon que l’exil vers allah correspond à la première partie de cette attestation (il n’y d’autre dieu digne d’être adoré en dehors d’allah).





c’est de ces deux exils qu’il faudra rendre compte dans le barzakh (monde intermédiaire entre où les morts attendent le jour de la résurrection) et le jour de la résurrection. qatâda souligne à cet effet : « les premières et les dernières générations seront interrogées sur deux choses : qui adoriez-vous ? et qu’avez-vous répondu aux prophètes ? »[1] allah (i) révèle : (par ton seigneur ! ils ne peuvent prétendre à la foi, tant qu’ils ne te soumettront pas leurs litiges, et qu’ils ne soient pas affligés par ton jugement, en s’y résignant pleinement ).[2] allah jure par lui-même que personne ne peut se raffermir dans sa foi et se prétendre de ses adeptes tant qu’on ne se réfère pas à son messager (r) sur tous les points litigieux qu’on rencontre dans tous les domaines de la religion. on doit de surcroît recevoir la décision et la loi de mohammed à cœur ouvert sans ne ressentir aucune affliction ni aucune gêne à l’encontre de son jugement en s’y soumettant pleinement.





pour tester son cœur, il suffit à l’individu de vérifier ses réactions lorsqu’un enseignement du prophète va à l’encontre de ses propres aspirations ou de la coutume de ses ancêtres, concernant un point infime ou important de la religion. (chacun se fait le témoin de lui-même • et ne peut se cacher derrière des excuses ).[3] il incombe de se soumettre à la volonté d’allah et de son messager comme une personne dominée ou un esclave pour qui son maître est plus cher à ses yeux que tout au monde. il doit avoir conscience que la soumission à son maître qui passe avant sa propre personne est à l’origine de son épanouissement et de son bonheur éternel. ce maître qui est plus bienfaisant envers lui que lui-même ; il est plus compatissant envers lui, meilleur conseilleur, plus au courant de ses propres intérêts et plus à même de les lui procurer.





allah dit : (le prophète passe aux yeux des croyants avant leur propre personne ).[4] cette préférence dont le véritable croyant fait preuve à l’égard du prophète (r) implique un certain nombre de points dont notamment :





- il doit l’aimer plus que sa propre personne qui est la chose la plus chère à ses yeux s’il veut mériter le nom de croyant.





-  cet amour et cette préférence doivent le conduire à une soumission parfaite et à une pleine obéissance vis-à-vis de ses enseignements et il doit tout sacrifier au profit de cet amour.





-  il ne doit pas s’en remettre ou se laisser dominer par sa propre personne, mais il doit abandonner son sort aux mains du prophète (r) comme un esclave envers son maître ou comme un fils envers son père. il n’a donc aucune liberté si ce n’est celle que le messager (r) lui concède étant donné qu’il passe avant lui-même.





comment peut-on dès lors avoir de la réticence vis-à-vis de ses paroles et de les négliger au profit d’un autre !





comment peut-on s’en remettre au jugement d’un autre au dépend du sien !





comment peut-on pencher plus vers un autre jugement sous prétexte que la vérité ne se puise pas à sa source, mais qu’elle est le fruit de l’esprit ou que ses enseignements ne sont pas formels !





il est pourtant la référence qui permet de distinguer entre le vrai et le faux et qui implique de le faire passer avant toute chose.





allah (i) dit : (il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, lorsqu’allah et son messager prennent une décision, de se fier à sa propre initiative ).[5] prendre l’initiative sur ses affaires quand il existe une loi venant d’allah et de son messager est contraire à la foi. l’imam shâfi’î relève à l’unanimité des compagnons, des successeurs et de la génération suivante qu’il ne convient pas de se tourner vers la parole de quiconque s’il existe un texte de la sunna dans une question donnée. le très-haut dit également : (dis : obéissez à allah et obéissez au messager, mais si vous vous détournez sachez qu’il aura à répondre de sa charge et que vous aurez à répondre de la vôtre. si vous le suivez, vous serez alors guidé sur le bon chemin ; il n’appartient rien d’autre au messager que de transmettre clairement le message ).[6] il est donc intolérable d’obéir à quelqu’un d’autre parmi les hommes en dehors de mohammed (r) en sachant que la condition pour parvenir au bon chemin, c’est de le suivre.





allah (i) révèle : (ô croyants ! obéissez à allah et obéissez au messager et aux détenteurs de l’autorité parmi les vôtres. si vous avez un différent sur quoi que ce soit, alors ramenez-le à allah et à son messager si vous croyez vraiment en allah et au jour dernier ; cela vaut mieux et a de meilleures conséquences).[7] obéir à mohammed revient à obéir à allah. les anciens et les nouvelles générations s’accordent à dire que ramener un différent à allah consiste à le ramener au coran. alors que le ramener au messager consiste à le ramener à sa personne au cours de sa vie et à sa tradition après sa mort. la fin du verset nous apprend que l’obéissance à allah et à son messager (r) est à l’origine du bonheur sur terre et dans l’au-delà.





si l’on se penche sur tout le mal qui s’abat sur le monde, on se rendra compte qu’il provient de la désobéissance au prophète (r). à l’inverse, tout le bien que peut connaître ce monde provient de l’obéissance au prophète (r). tous les malheurs et les tourments que les hommes subissent dans l’autre monde proviennent de cette même raison. en définitive, la désobéissance au prophète (r) est à l’origine de tous les malheurs qui ont lieu ici-bas et dans l’au-delà. si les hommes obéissaient à cet homme comme il convient, il n’y aurait pas de mal sur terre ; cela concerne aussi bien les calamités à grande échelle que les douleurs et les angoisses que l’individu ressent en lui-même. celles-ci proviennent indubitablement de la désobéissance au prophète (r) étant donné que son obéissance est une forteresse et un refuge garantissant la paix intérieure et la sécurité…





que les prières d’allah et son salut soient sur mohammed, ainsi que sur ses proches,





et tous ses compagnons !


au nom d’allah, l’infiniment miséricordieux, le très miséricordieux





que disent-ils du coran ?





l'humanité n'a eu connaissance des commandements de dieu que par deux voies : en premier lieu la parole de dieu et en second lieu les prophètes qui ont été choisis par dieu afin de communiquer sa volonté aux êtres humains. ces deux voies vont de paire et toute tentative pour connaître la volonté de dieu en négligeant l'une ou l'autre de ces voies, a toujours été trompeuse. les hindous, délaissant leurs prophètes, se plongèrent dans leurs livres qui se révélèrent être des rébus dans lesquels ils s'égarèrent. de même, les chrétiens ne prêtèrent guère attention au livre de dieu, n'accordèrent d'importance qu'au christ et non seulement ils lui donnèrent le rang de divinité, mais négligèrent jusqu'à l'essence du tawhid (monothéisme), contenue dans la bible.





en réalité les principales écritures révélées avant le coran, c'est-à-dire l'ancien testament et l'evangile, n'ont été transcrites sous forme de livres qu'après le temps des prophètes et ce fut alors après traduction, car les disciples de moïse et de jésus ne firent guère d'efforts pour préserver ces révélations du vivant de leurs prophètes. elles ne furent écrites que longtemps après la disparition de ceux auxquels elles avaient été révélées. c'est ainsi que la bible, telle que nous la connaissons à l'heure actuelle (l'ancien et le nouveau testament), est composée de traductions de récits individuels concernant les révélations originelles et contenant les ajouts et suppressions faits par les disciples des prophètes en question. tout au contraire, le dernier livre révélé, le coran, subsiste dans sa forme originelle. dieu a veillé lui-même à ce qu'il soit préservé. c'est la raison pour laquelle le coran a entièrement été écrit du vivant du prophète muhammad (que la prière et la paix de dieu soient sur lui)  sur des feuilles de palmier, des morceaux de parchemin, des os, etc.





de plus, des dizaines de milliers de compagnons du prophète mémorisèrent le coran dans son entier. le prophète lui-même le récitait à l’ange gabriel une fois par an et deux fois, alors qu'il était sur le point de mourir. plus tard, le premier calife, abou bakr chargea zaid ibn thabit, le scribe du prophète, de rassembler les écrits du coran en un seul volume, qui ne quitta pas abou bakr jusqu'à sa mort. il passa alors aux mains du second calife omar, puis à celles de l'épouse du prophète, hafsa. le troisième calife othman fit faire plusieurs copies de ce volume original et les envoya dans les différents territoires musulmans.





le coran fut méticuleusement préservé, car il devait être le livre des commandements qui allaient guider l'humanité pour l'éternité. c'est pour cette raison qu'il ne s'adresse pas seulement aux arabes, bien qu'il fût révélé dans leur langue. il s'adresse à l'homme en tant qu'être humain. « ô homme ! qui t'a détourné de ton seigneur » (le saint coran, chapitre la rupture, verset 6).





l'application des préceptes coraniques est montrée par l'exemple de muhammad (que la prière et la paix de dieu soient sur lui) et des pieux musulmans à travers les âges. l'approche du coran est caractérisée par les instructions données qui ont pour objectif le bien-être de l'homme et s'appuient sur les moyens qui sont à la portée de celui-ci. la sagesse coranique est décisive en toutes choses. elle ne condamne ni ne martyrise la chair, mais elle ne néglige pas l'âme. elle ne donne pas forme humaine à dieu et elle ne déifie pas l'homme. chaque chose a sa place dans la création.





pour tout dire, les érudits qui prétendent que muhammad (que la prière et la paix de dieu soient sur lui) est l'auteur du coran, soutiennent quelque chose d'humainement impossible. un individu quelconque du vie siècle de l'ère chrétienne aurait-il pu émettre des vérités scientifiques telles que celles que contient le coran ? aurait-il pu décrire l'évolution de l'embryon dans l'utérus avec autant de précision que dans la science moderne ? d'autre part, peut-on logiquement penser que muhammad (que la prière et la paix de dieu  soient sur lui), qui jusqu'à l'âge de 40 ans n'était connu que pour son honnêteté et son intégrité, aurait commencé tout d'un coup à produire un livre dont la qualité littéraire reste inégalée, et dont l'équivalant n'a jamais été produit par aucun de ceux qui forment la cohorte des plus grands poètes et orateurs arabes ? enfin, est-il justifié de dire que muhammad (que la prière et la paix de dieu soient sur lui), surnommé al-amin (celui qui est digne de confiance) par ses contemporains, dont les érudits non-musulmans continuent d'admirer l'honnêteté et l'intégrité, aurait apporté de fausses assertions et entraîné à sa suite des milliers d'hommes de caractère, honnêtes et intègres, capables d'établir la meilleure société humaine sur terre, avec des mensonges ?





en réalité, tous ceux qui cherchent la vérité avec sincérité et impartialité, croiront que le coran est le livre révélé par dieu.





sans toutefois être entièrement en accord avec tout ce qu'ils disent, nous citons ici les opinions de quelques érudits non musulmans sur le coran.





« le lecteur pourra constater que le monde moderne s'approche de plus en plus de la vérité en ce qui concerne le coran. nous appelons tous les érudits sans préjugés à étudier le coran à la lumière de ce qui a été dit ici. nous sommes convaincus que le lecteur ne pourra qu'être persuadé que le coran n'aurait jamais pu être écrit par un être humain. aussi souvent que nous le lisons, au départ et à chaque fois, il (le coran) nous repousse. mais soudain il séduit, étonne et finit par forcer notre révérence. son style, en  harmonie avec son contenu et son objectif, est sévère, grandiose, terrible, à jamais sublime. ainsi, ce livre continuera d'exercer une forte influence sur les temps à venir. » goethe cité dans "dictionary of islam " de t.p. hughes, p.526.


 


« le coran occupe, de l'aveu général, une position importante parmi les plus grandes écritures religieuses du monde. bien qu'étant la dernière-née des œuvres inoubliables de ce type de littérature, il n'y a aucune d'elles qui le surclassent dans le merveilleux impact qu'il a su créer sur une multitude d'hommes. il a fait naître un tout nouvel aspect de la pensée humaine et un caractère tout aussi nouveau. d'abord, il convertit de nombreuses tribus hétérogènes des déserts de la péninsule arabe en une nation de héros, et fonda par la suite les grandes institutions politico-religieuses caractéristiques du monde musulman, qui constituent une des forces majeures avec lesquelles l'europe et l'orient doivent compter aujourd'hui. » g. margoliouth, introduction au "koran" de j.m. rodwell. new york, everyman's library 1977, p. vii.


 


« bref, c'est une œuvre qui crée des émotions tant vives qu'inconsistantes, même chez le lecteur éloigné dans le temps et bien plus encore, par rapport au développement intellectuel. » dr. steingass, cité dans "dictionarv of islam " de t.p. hughes, pp. 526-7.


 


« ce dernier constat rend inacceptable l'hypothèse de ceux qui voient en muhammad l'auteur du coran. comment un homme, illettré au départ, aurait-il pu en devenant par ailleurs, du point de vue de la valeur littéraire, le premier auteur de toute la littérature arabe, énoncer des vérités d'ordre scientifique que nul être humain ne pouvait élaborer en ce temps-là, et cela, sans faire la moindre déclaration erronée sous ce rapport ? » maurice bucaille, la bible, le coran et la science edition 1978, p. 126.


 


« peut-être que l'on ne saurait donc, ici, évaluer ses mérites en tant qu’œuvre littéraire, suivant des règles préconçues, nées d'un goût esthétique et subjectif, mais plutôt par rapport aux effets qu'il eut sur les contemporains et les compatriotes de muhammad. s'il a choisi un ton aussi austère et convaincant pour s'adresser aux cœurs de ses auditeurs, pour souder des éléments centrifuges et antagonistes en un ensemble compact et bien structuré, animé par


des idées jusqu'alors inconnues de l'intellect arabe, son éloquence était sans doute parfaite, tout simplement du fait d'avoir converti des tribus sauvages en une nation civilisée et ajoute une nouvelle trame a la  vieille chaîne de l'histoire. » dr. steingass, cité dans "dictionary of islam " de t.p. hughes. p. 528.


 


« voulant par la présente tentative surclasser mes prédécesseurs et proposer quelque chose qui saurait faire résonner, quoique faiblement, la rhétorique sublime du coran arabe, j'ai éprouvé toutes les peines à maîtriser les rythmes complexes et magnifiquement variés qui, outre le message lui-même, permettent au coran de compter incontestablement parmi les plus grands chefs-d'œuvre littéraires de l'humanité... cette caractéristique particulière, cette "symphonie inimitable" ainsi que le croyant pickthall décrit son holy book "dont les airs poussent les hommes à l'extase et aux larmes" - a été presque totalement ignorée par les traducteurs précédents. ainsi, on ne s'étonne guère de constater que ce qu'ils ont écrit paraît terne et plat par rapport à l'original, somptueusement orné. » arthur j. arberrv, thé koran interpreted, london. oxford l’universily press. 1964 p. x.


 


« une analyse puisement objective du coran à la lumière des connaissances modernes, nous amène à reconnaître l'harmonie existant entre les deux, ainsi qu'on l'a fait ressortir à maintes reprises. on a du mal à s'imaginer qu'un homme du temps de muhammad ait pu être l'auteur de telles affirmations. compte tenu du niveau intellectuel de l'époque, de telles considérations répondent en partie de la place exceptionnelle qu'occupe la révélation coranique et contraignent le scientifique impartial à admettre son incapacité de fournir une explication fondée uniquement sur la logique matérialiste. » maurice bucaille, le coran et la science moderne. 1981. p. 18



 



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